Un Organisme de Placement Collectif en Valeurs Mobilières porte essentiellement sur les actions (ou parts des actifs d’une société) ou les obligations d’une société ou entreprise. Généralement, deux sortes de placement collectif existent selon leur structure juridique, il s’agit de Société d’Investissement à Capital Variable et d'un Fonds Commun de Placement. Le souscripteur à une SICAV ou à un FCP ne détient pas des titres apportés par le fonds, mais seulement d’une partie du capital de l’OPCVM.
Comment cela marche-t-il ?
Concrètement, si un investisseur décide de souscrire à un OPCVM, il autorisera la gestion de son placement boursier à un professionnel. Il est ainsi détenteur d’un portefeuille plus sécurisant et plus diversifié que lors d’une détention d’actions directes dans un investissement. Les risques de perte seront ainsi minimisés au maximum, le professionnel d’OPCVM ayant reçu les pleins pouvoirs pour gérer les fonds remis à sa disposition. Faites une visite du site web https://www.actions-opcvm.com/ pour plus de renseignements à ce sujet.
Les OPCVM se présentent sous plusieurs formes suivant les modes d’investissement qu’ils supportent.
Classement des OPCVM
- Les OPCVM actions, ils peuvent être français, zone euro, CE ou international, et sont investis à hauteur de 60 % au minimum sur 1 ou plusieurs marchés d’actions.
- Les OPCVM obligations sont investis sur 1 ou plusieurs marchés (euros, internationaux) de taux boursiers.
- Les OPCVM monétaires (euros ou internationaux) concernent les placements faisant référence à un taux monétaire.
- Les OPCVM à formule concernent les organismes de placement qui reposent sur l’application d’une formule prédéfinie en fonction de l’évolution de l’actif sous-jacent.
- Les OPCVM alternatifs sont investis à 10 % et plus sous d’autres OPCVM existant, ils mettent ainsi en œuvre des gestions décorrélées des indices de marché.
SICAV, les particularités
Elles ont été créées pour permettre aux particuliers d’avoir accès aux marchés boursiers français ou internationaux, que ce soient en actions ou en obligations. Elles sont comme des sociétés anonymes à capital variable, dotées d’un conseil d’administration et d’un gestionnaire. Plus le nombre d’épargnants augmente, plus le capital de la SICAV pourra acheter davantage de titres. À l’inverse, elle peut revendre une partie de son portefeuille pour acquérir les liquidités au rachat des parts d’un vendeur. Les SICAV permettent donc aux souscripteurs de bénéficier de liquidité omniprésente. Notons aussi qu’elles peuvent œuvrer sur un seul marché ou sur un seul secteur économique selon ses statuts (à l’instar des sociétés anonymes).
Les FCP, ce qu’il faut savoir
Créés en 1979, les Fonds Commun de Placement possèdent les mêmes vocations que les SICAV, mais leur différence principale réside dans leur fonctionnement respectif. Les modes d’emploi d’un FCP ont été allégés et simplifiés pour inciter beaucoup plus d’investisseurs à adhérer dans l’organisme. Le statut est une copropriété de valeurs mobilières partagées entre les adhérents qui apportent leurs parts dans le fonds commun. Il n’y a donc pas de conseil d’administration, mais ils sont dirigés par une société professionnelle de gestion de fonds.
Les porteurs de parts n’ont pas les droits conférés à un actionnaire direct, néanmoins, ils peuvent être axés sur plusieurs formes d’investissement, comme un FCP monétaire, obligataires, actions, garantis, diversifiés ou à formule.